L’évolution du nombre de logements (permis de construire) explique l’évolution démographique de Saint Julien.
Le parc de logement se caractérise par les données suivantes :
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Le point mort, qui permet de déterminer le nombre minimum de logements à construire pour maintenir la population constante résulte de trois facteurs :
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A titre d’information, pour le bipôle Saint Julien / Clénay, sur 200 logements construits entre 1999 et 2007, 59 (30%) n’ont permis qu’à maintenir la population constante, les 141 autres ayant permis (70%) ayant permis la croissance démographique. |
Prix des terrains à bâtir :
Aujourd’hui, le bipôle Saint Julien / Clénay fait partie d’un secteur attractif dans le cercle périurbain de l’agglomération Dijonnaise, de par sa proximité avec les zones d’emploi nord de Dijon et son cadre de vie agréable et encore très rural par rapport à d’autres communes périurbaines à l’urbanité plus marquée, pour une distance équivalente.
Cette caractéristique induit des prix du foncier intermédiaires entre ceux de la ville et ceux des campagnes plus reculées, ce qui a attiré de nombreux ménages sur le bipôle depuis les années 1975.
Les incidences du SCOT (Schéma de Cohérence et d’Orientation Territorial) du dijonnais :
Le SCOT prévoit que les 5 pôles de proximité qu’il accueille produisent 3.500 logements d’ici 10 ans. Avec une clé de répartition supposée proportionnelle à la taille actuelle des pôles, cela représenterait 636 logements pour le bipôle Saint Julien / Clénay, dont environ 60% à réaliser sur Saint Julien.
En synthèse
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Les enjeux pour l’avenir : Diversifier le parc de logement
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